Sentier des Cabanes (Nord)

"Belle balade, plusieurs choix de parcours, petit bémol,il manque des explications concernant les maisons"

"Balade en famille sur le sentier des cabanes très sympas, à l'ombre des bois sauf au début. Il faut avoir l'habitude des balades car minimum 1h de balade. Il y a 4 parcours de randonnée avec des niveaux et des distances différentes dont le plus court avec les cabanes et 1 parcours vvt."

"Balade très sympa et plutôt ombragée."

"Promenade très agréable dans une forêt parsemée de Cabanes"

"Super balade !"

"Chemin, cadre, très agréable, calme, du monde mais c'est tellement vaste, que personne ne se gêne, petit bémol manque des poubelles sur certains chemins car hier j'étais outrée de voir des masques par terre et des mouchoirs, alors que jusqu'à présent c'était très propre, il y a des tables pour pique niquer, c'est interdit aux à moteurs, beaucoup de promeneurs et des vélos, j'adore cet endroit, il y a tellement de chemins, de bories à voir, tous les jours nous faisons notre marche"

" Ce sentier de 3,7 km de long guide le visiteur à travers des amas incroyablement denses d'architecture vernaculaire en pierre sèche empilée. Une architecture sans architectes, construite sans mortier selon des règles précises, notamment de calage horizontal et vertical. Ils se caractérisent par une voûte intérieure dite à encorbellement, détachée de la toiture et très résistante aux intempéries. Aujourd'hui presque envahis par la forêt, on imagine mal ces abris temporaires si étroitement liés à l'agriculture et notamment à la culture de la vigne datant de l'époque où ce territoire était effectivement couvert de vignes. Le sentier vous fait découvrir Lassinée, les ensembles de Mallaurin et Dardinelle et cinq sites de L'Henriette. Certaines cabanes à double paroisse ont des doubles murs extérieurs que je n'ai pas consultés ailleurs et je n'ai pas pu trouver d'informations sur leur destination. Loin des hameaux et villages environnants, les cabanes servaient d'abris temporaires et de refuges contre la chaleur accablante des étés sur le causse. Pour faire une sieste, s'abriter des tempêtes ou ranger des outils. Les constructions en pierres sèches empilées avaient également un autre objectif : se débarrasser des pierres que le cultivateur retirait des champs afin de libérer de l'espace pour les cultures. Le territoire est sillonné de murets, parsemés de queyrous (amas de pierres), de guérites (abris adossés ou intégrés à un mur), de drailles (chemin entre murets). "